mercredi 8 décembre 2010

éditeur, fournisseur et revendeur, mais néanmoins partenaire ?

De plus en plus de sites d'éditeurs sont marchands et cherchent à développer leurs ventes et/ou leurs revenus mais pas en passant uniquement par la vente de livre, deux exemples avec des fonctionnalités spécifiques au web dont la pertinence peut poser question :

- l'affiliation :  j'ai déjà râlé sur le programme d'affiliation Amazon/éd du Chêne sur une très grosse vente actuelle... je n'y reviens pas... sur cet exemple, mon avis est que cette mise en avant est vraiment déloyale de la part de l'éditeur qui renvoie directement à un seul canal de vente et lèse ses revendeurs : est-ce ce genre de pratique, le "résolument moderne" d'Hachette ?  Le principe d'affiliation en lui-même est vraiment intéressant, mais doit être automatisé : celà fait déjà deux ans que je l'ai demandé pour le site de la librairie sous forme de vignette à copier/coller mais on m'a répondu à l'époque que ce n'était pas possible car il y  avait un problème de dissémination de couvertures alors que les droits des couv sont détenus par l'éditeur... aujurd'hui on préfère passer contrat avec des sociétés spécialisées qui se chargent de gérer le mécanisme d'affiliation, c'est ainsi qu'a procédé Gibert Josph récemment pour son site.

- le programme Google AdSense qu'on peut voir en bas à droite dans la page "panier" du site Hachette/Books. A l'heure où j'écris, on voit une annonce d'intérêt public, et je trouve que ça fait bizarre sur ce site : "Annonces émanant d'organismes à but non lucratif qui sont diffusées quand aucune annonce ciblée n'est disponible ou quand Google ne parvient pas à déterminer le sujet d'une page. Les éditeurs ne reçoivent aucune rémunération pour les clics associés aux annonces d'intérêt public." Un ratage de FullSix qui a conçu le site sinon quel intérêt, ce GoogleAd ?

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